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Les virus les plus dangeureux sur Android

Obad était le virus le plus dangereux sous Android

En 2013, les propriétaires d’Android ont été malmenés par un virus baptisé Obad qui était considéré comme le plus dangereux sur cet OS. À l’époque, il marquait un réel tournant dans ce secteur, car les antivirus n’étaient pas habitués à ce genre d’attaques.

Obad se présentait comme une nouvelle génération de chevaux de Troie et il avait la particularité d’être très difficile à supprimer. Avec un code crypté, il était complexe à identifier et il utilisait la fonction administrateur.

Il était ainsi en mesure de réaliser des actions qui nécessitaient cette dernière comme déverrouiller le Smartphone, la lecture des notifications…

Le problème devenait encore plus conséquent si le Smartphone sous Android ou la tablette bénéficiait d’un accès root. Il pouvait ainsi contourner toutes les limites que les fabricants avaient mises en place. Obad a donc été considéré comme le virus le plus dangereux de tous les temps.

Le système d’exploitation de Google a tremblé avec RCSAndroid

Les fabricants ont tenté par la suite de rendre les OS performants et résistants face aux attaques. Android reste tout de même vulnérable et depuis 2013, les attaques se sont multipliées et les objectifs sont toujours similaires : les hackers souhaitent prendre le contrôle du mobile et/ou voler les données personnelles.

Si les propriétaires d’un antivirus Avira pour Android sont moins vulnérables, ceux qui sont dépourvus d’une telle solution s’exposent à de véritables problèmes et ce fut le cas avec RCSAndroid. Ce virus découvert en 2015 était particulièrement dangereux, car il était très sophistiqué.

Développé au départ pour une utilisation au sein d’une société, le virus a été dérobé par des pirates informatiques. Ils ont eu l’occasion de découvrir le logiciel d’espionnage le plus complet disponible sur le Web.

Il permettait ainsi d’afficher en temps réel une multitude de données comme les accès des comptes et des réseaux sociaux, les informations transmises par Gmail, les SMS, les MMS et les courriels…

L’infection était également très rapide, car il fallait simplement cliquer sur un lien pour permettre au virus de s’installer.

Un logiciel capable d’espionner un mobile éteint en apparence

Power Off Hijack a lui aussi posé de sérieux problèmes aux mobinautes, car ce virus était capable d’utiliser le Smartphone alors qu’il était apparemment éteint. De ce fait, le logiciel espion pouvait prendre des clichés à votre insu, envoyer des SMS et effectuer des appels sans que vous le sachiez.

En quelques jours, 10 000 mobiles étaient infectés au début de l’année 2015. Les conséquences étaient largement problématiques pour ceux qui n’avaient pas de forfaits illimités ou bloqués. Les factures pouvaient ainsi s’enflammer en quelques heures.

L’utilisateur était invité à éteindre son téléphone lorsqu’un message s’affichait. En apparence, le mobile était éteint, mais en réalité, il fonctionnait toujours avec les commandes de Power Off Hijack, l’écran était tout de même noir. Les appareils ciblés fonctionnaient sous Lollipop 5.0 qui est la dernière version du système d’exploitation Android.

Les personnes qui soupçonnent l’installation d’un tel virus doivent donc se protéger en installant un antivirus comme celui développé par Avira et il est spécialement conçu pour cet OS. Il identifiera rapidement le problème et pour se protéger davantage, il suffit d’enlever la batterie lorsque vous souhaitez éteindre le mobile. Vous n’aurez aucune mauvaise surprise.

Avira souhaite que ses clients vivent 'libérés' des spywares, phishing, virus et autres menaces basées sur internet. La société a été créée il y a 25 ans sur la promesse de son fondateur Tjark Auerbach de « concevoir un logiciel qui réalise de belles choses pour mes amis et ma famille ». Plus de 100 millions de consommateurs et de petites entreprises font maintenant confiance à l'expertise d'Avira en matière de sécurité et à son antivirus primé, faisant de l'entreprise le numéro deux mondial en termes de parts de marché.