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paiement mobile

Les dangers du paiement mobile

Le fonctionnement du paiement mobile

Deux cas de figure sont observés et le premier ressemble à celui référencé via un ordinateur. Les coordonnées bancaires sont ainsi renseignées avec le Smartphone via un paiement en ligne et si aucune protection n’est au rendez-vous, un désagrément de taille est susceptible de se produire.

Les mobiles sont en mesure d’être infectés qu’ils fonctionnent sous Windows Phone, iOS ou Android.

Un hacker qui espionne les agissements pourra très facilement conserver les données et les revendre aux plus offrants ou en effectuant à son tour des achats.

En parallèle, il y a le paiement sans contact qui utilise la technologie NFC. Lorsque le plafond n’excède pas 20 euros, vous pouvez payer vos courses lorsque le terminal est compatible. Le fonctionnement est ainsi similaire à celui d’une carte bancaire puisqu’il suffit d’approcher le mobile pour que le paiement soit enregistré.

Toutefois, cette technologie est réputée pour ne pas être très sûre puisque les personnes malveillantes sont en mesure d’intercepter les données.

Quels sont les risques encourus par les mobinautes ?

Ils ont l’occasion d’utiliser des services comme Apple Pay ou encore Google Wallet, car ils utilisent la technologie NFC, c’est également le cas pour Orange Cash qui a été récemment lancé par l’opérateur historique.

Des coordonnées bancaires sont donc enregistrées via ces services et lorsque le mobile est présenté devant le terminal, une transmission est opérationnelle. L’attention des hackers a été éveillée après l’essor du marché du Smartphone et ils se sont donc intéressés à des techniques pour piller ces informations.

Il est important de préciser qu’il n’existe pas réellement d’antivirus pour protéger un mobinaute des vulnérabilités du NFC. De nombreuses informations sensibles sont ainsi à la portée des pirates en informatique.

Les risques encourus sont similaires à ceux engendrés lors de l’utilisation d’une carte bancaire sans contact. Le CNRS a ainsi pu préciser dans un article consacré à cette technologie qu’une personne qui se promène dans la rue est susceptible d’être piratée par des hackers qui se trouvent à proximité.

Ce ne sont pas les seuls qui demandent une attention particulière, car Pierre-Alain Fouque, un spécialiste du domaine au CNRS précise que « rien n’empêche le vendeur de faire plusieurs retraits » notamment à cause de la technologie NFC.

Pour le paiement mobile, il n’y a pas de solutions miraculeuses

Les solutions pour protéger les acheteurs sont peu nombreuses, voire inexistantes. Aujourd’hui, en utilisant la technologie NFC, il n’existe pas un antivirus spécifique. Seules les sociétés garantissent un maximum de protection, c’est le cas pour Apple qui précise qu’une sécurité de pointe est utilisée.

De son côté, Google Wallet met en place un cryptage des données pour protéger les transactions bancaires.

Le paiement mobile est en hausse en France, car 22.9 % des achats en ligne ont été effectués avec cette méthode en mars 2015 contre 16.2 % un an auparavant.

Dans ce domaine, les méthodes de protection sont un peu plus nombreuses, nous avons par exemple développé des solutions spécifiques pour les mobiles sous Android et iOS. Le logiciel est en mesure de protéger les Smartphones de toutes les menaces. Vos emails, vos photos ainsi que vos coordonnées bancaires seront à l’abri des hackers.

S’il fallait choisir une méthode pour le paiement mobile, il faudrait sans aucun doute opter pour la méthode classique en ligne en choisissant des plateformes qui bénéficient du cryptage SSL.

Avira souhaite que ses clients vivent 'libérés' des spywares, phishing, virus et autres menaces basées sur internet. La société a été créée il y a 25 ans sur la promesse de son fondateur Tjark Auerbach de « concevoir un logiciel qui réalise de belles choses pour mes amis et ma famille ». Plus de 100 millions de consommateurs et de petites entreprises font maintenant confiance à l'expertise d'Avira en matière de sécurité et à son antivirus primé, faisant de l'entreprise le numéro deux mondial en termes de parts de marché.